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Se spécialiser dans la ménopause : choix de cœur ou stratégie gagnante ?
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Se spécialiser dans la ménopause : choix de cœur ou stratégie gagnante ?
“Tu vas vraiment te limiter à ça ?”
“C’est pas trop niche, ton truc ?”
“Et puis... la ménopause, c’est pas un peu glauque comme sujet ?”
Si tu t’es déjà posé ces questions (ou si on te les a posées à ta place), tu n’es pas seule. Et tu es peut-être sur la bonne voie.
Une spécialisation qui dérange… parce qu’elle bouscule
Pendant longtemps, la ménopause était le non-sujet par excellence.
Ni glamour, ni vendeur, ni même assumé.
Mais aujourd’hui, les lignes bougent. Lentement, mais sûrement.
Et devine quoi ?
? Ce que les autres voient comme une zone floue… c’est peut-être ton meilleur terrain de jeu professionnel.
Et si se spécialiser, c’était faire mieux… pas plus ?
Trop d’esthéticiennes s’épuisent à vouloir tout proposer. Tout maîtriser. Tout satisfaire.
Mais à force de vouloir ratisser large, on finit par être floue pour tout le monde.
Se spécialiser, ce n’est pas se priver.
C’est choisir où tu es imbattable.
Et quand tu t’adresses à une femme en ménopause, crois-moi :
? Elle ne cherche pas “la meilleure esthéticienne de la ville”.
Elle cherche la seule qui comprenne ce qu’elle vit vraiment.
Une stratégie d’avenir, pas une mode passagère
Oui, c’est une vraie niche.
Mais une niche stable, croissante, fidèle, et profondément reconnaissante.
Parce qu’on parle ici de femmes :
Qui prennent soin d’elles différemment
Qui ont du pouvoir d’achat
Qui ne veulent plus perdre de temps avec des soins superficiels
Tu peux construire une activité durable, rentable et épanouissante autour de cette cible.
Mais ça demande de changer ton regard, ton discours, et ton organisation.
(Et non, ce n’est pas juste une affaire de marketing. Mais ça, on en reparlera…)
Et toi, tu choisis quoi : la peur de rater une cliente, ou la joie d’accompagner les bonnes ?
Tu peux continuer à vouloir satisfaire tout le monde.
Mais tu sais déjà que ça ne te satisfait pas, toi.
Ou alors, tu peux poser une intention forte :
? “Je veux devenir la professionnelle que les femmes en ménopause attendent.”
Ce n’est pas une idée.
C’est un cap.
Et si tu sens que ça résonne, c’est peut-être que tu es prête à changer de posture, de discours… et de vie pro.
“Ce qui m’a marquée, c’est qu’elle ne m’a pas parlé de rides. Elle m’a parlé de moi. De ce que je vivais. Elle avait les mots, les gestes, la posture. Et pour une fois, j’ai eu envie de revenir, pas juste pour ma peau… mais pour moi.”
Laurence N.
56 ans